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BIENVENUE 

AU FARE PŌTE'E

  
  Le fare pōte'e de Maeva a rouvert ses portes après plusieurs années de fermetures répétées.
Cet authentique fare, ombragé et mythique, nous fait vivre et ressentir la qualité et l'harmonie de la vie d'autrefois, ne nous en privons pas, entrons dans l'univers des anciens polynésiens tel qu'ils l'ont légué aux gens de Maeva.

Tout visiteur se doit d'apprécier l'importance du patrimoine culturel de l'environnement du fare pōte'e et son état exceptionnel de conservation. Maeva, ancienne capitale de Huahine, abritait les chefferies de lîle, ce fut l'un des plus importants pôles spirituels de la Polynésie, par le nombre des marae en place, et leur concentration au bord du lac Fā'una Nui ainsi que la colline de Mata'ire'a qui surplombe le village. 

Dans ce paysage unique ou cohabitent lieux de culte du passé et villageois, le musée de Maeva a été installé au fare pōte'e , ancien lieu de réunion du village, regroupant un  grand nombre de reliques mises à jour au cours des dernières décennies.
On peut y voir des herminettes, hameçons, pilons, marteaux à tatouer, rames... outils et autres objets d'hier.

Autant de trésors archéologiques qui témoignent  de la richesse de l'héritage culturel Mā'ohi.


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Dans ce paysage unique ou cohabitent lieux de culte du passé et villageois, le musée de Maeva a été installé au fare pōte'e , ancien lieu de réunion du village, regroupant un grand nombre de reliques mises à jour au cours des dernières décennies. On peut y voir des herminettes, hameçons, pilons, marteaux à tatouer, rames... outils et autres objets d'hier. Autant de trésors archéologiques qui témoignent de la richesse de l'héritage culturel Mā'ohi.

               Un patrimoine culturel à préserver 


       Ceci est une prière !
       Oh l'amour de mon pays
dont le flot sans relâche a baigné ma jeunesse
en son âge le plus tendre !
Qu'il oigne encore mon corps tout mortel,
        Et vive cet amour !
Vive ! Vive ! Vive encore et toujours !
Qu'il vive et abreuve ma terre natale,
                   Pour que fleurissent en leur essaim
                   Les enfants de ce sol,
                   enfants de mon pays.

                   Henri Hiro



                     
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